Vu que l’infirmerie s’avère copieusement garnie, le staff a décidé, pour la venue de Pithiviers, dimanche à Tonnellé, de faire largement confiance aux jeunes. C’est ainsi que la triplette Attencia – Kellogg- Raguin formera l’épine dorsale du paquet d’avants. Derrière, on note les retours de Labergère et Perchais.
Après avoir fait étape à Tours, lundi, le train de la Coupe du Monde de rugby 2023 a mis le cap sur le Havre. D’ici au 12 octobre, date du terminus à Saint Denis, il achèvera son Tour de France par Rennes, Vannes et Nantes. Pour promouvoir sa candidature et espérer être retenu comme camp de base lors de la dixième édition du Mondial, Tours ne pouvait rêver mieux comme invité de marque, que Bernard Laporte, fraîchement réélu à la tête de la Fédération. L’aventure paraît bien lancée. Etat des lieux.
Fraîchement réélu, samedi midi à Marcoussis (Essonne) à la tête de la Fédération Française de rugby, Bernard Laporte effectuera sa première sortie officielle lundi à Tours, à l’occasion du passage du train de la Coupe du Monde 2023.
Après un Tour de France de 32 jours, qui s’achèvera le 12 octobre, le train du rugby pour la Coupe du Monde 2023, fera escale lundi prochain à Tours, où il sera stationné sur la voie G. Pierre Gilles Lakafia et Thibault Dubarry seront les deux ambassadeurs de l’UST et de la ville de Tours, qui ont posé leur candidature pour accueillir une délégation lors de la dixième édition du Mondial.
Jamais à l’abri, sans être toutefois jamais en danger, les Tourangeaux remportent un troisième succès consécutif devant Issoudun (28-20). Au terme de ce premier bloc, Tours a rempli son contrat.
En lever de rideau, l’équipe B a su montrer le chemin en disposant très largement d’Issoudun (93-7). Avec, à la clef, quinze essais, dont quatre doublés pour Al Kassar, Poisson, Chartrin et Bonard. Les Tourangeaux n’ont jamais été inquiétés par une formation issoldunoise très inférieure. Les quinze essais de l’UST sont l’oeuvre de Ksoureli (1ere), Perchais (7e), Baudimont (13e), Morisseau (19e), Duval (33e), Monnereau (34e), Al Kassar (39e, 66e), Poisson (41e, 58e), Etamé (45e), Chartrin (53e, 77e) et Bonard (62e, 72e). Guerche ajoutant neuf transformations (1ere, 7e, 13e, 19e, 33e, 45e, 53e, 58e, 66e).
Après s’être imposé devant Châteauroux (27-5), puis à Montluçon (26-23), les Tourangeaux entendent bien enchaîner, dimanche à Tonnellé, face à Issoudun. Histoire de finir ce premier bloc invaincus, afin de conserver les commandes de la poule, comme leur a demandé le président Sebillet.
Revenir victorieux d’Auvergne était l’objectif des Tourangeaux. Mission accomplie, puisque les coéquipiers de Thomas Rougebec sont venus s’imposer sur le fil à Montluçon (26-23) grâce à une pénalité des 30m à gauche d’Edouard Carp. Mais avant d’en arriver là, que ce fut dur…
Pour ne pas être en reste avec la première, l’équipe B de l’UST avait montré l’exemple, en lever de rideau, en s’imposant à Montluçon (23-10). Après avoir connu quelques ratés à l’allumage (10-0, 6e), les joueurs du duo Courtillé-Sassi ont su inverser les données pour virer en tête au repos (15-10), avant d’aller chercher le bonus offensif, sur la fin, par Julien Guerche.
Signalons que les quatre essais tourangeaux ont été inscrits par Malpel (22e), Chartrin (29e), Reid (35e) et Guerche (76e). Pierre Ruiz ajoutant une pénalité (50e).
Grâce à cette deuxième victoire, l’UST pointe en tête de la poule en compagnie d’Auxerre, large vainqueur de la Châtre (56-3), après avoir gagné, une semaine auparavant, à Pithiviers (85-7).
BERTRAND BOURGEAULT
En raison de l’absence programmée de Dubarry et de la blessure de Diarra, le staff a dû changer sa deuxième ligne pour le déplacement à Montluçon. Du coup, Guillemet monte dans la cage, alors que Lépine effectue son retour en équipe fanion.
